
Cette situation va poser problème aux équipes informatiques des entreprises qui cherchent des stratégies pour installer le nouveau système d'exploitation, dont le déploiement a commencé.
Bien que Microsoft ait autorisé les installations manuelles indépendamment du processeur, une mise à niveau automatique ne se produira que si trois composants critiques de l'ordinateur - le processeur, la RAM et le TPM - répondent aux exigences requises.
L'étude montre que si la majorité des stations de travail passent le test de la RAM (91 %), seule la moitié des TPM (Trusted Platform Module) testés répondent aux exigences : 19 % ont échoué et 28 % n'étaient pas compatibles avec le TPM ou ne l'avaient pas activé.
"Microsoft justifie la nécessité de ces exigences pour dissiper les craintes en matière de sécurité, car de nombreux appareils ne pourront pas être mis à niveau, même ceux qui viennent d'arriver sur le marché", explique Roel Decneut, directeur du marketing chez Lansweeper. "Le revers de la médaille, c'est que cela peut en fait laisser une tonne d'appareils encore plus exposés au risque de devenir vulnérables. Ceux qui ne peuvent pas effectuer la mise à jour vers Windows 11 - probablement la plupart des entreprises à court terme - continueront à utiliser Windows 10. Microsoft prévoit de mettre fin à la prise en charge de Windows 10 en 2025, ce qui signifie qu'il n'y aura plus de correctifs de sécurité pour les appareils qui ne peuvent pas passer à son successeur."
Source : Lansweeper
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